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La question 1ere que l’on s’est posé en tant que psychiatre du public, c’est ‘ pourquoi les stars se détruisent comme quelques de nos malades les plus démunis ainsi qu’elles ont à priori tout pour elle ‘. Ce paradoxe questionnait notre technologie et nos hypothèses et rien dans l’architecture médicale ne semblait avoir la possibilité de y répondre. Les célébrités et les héros peuplent notre imaginaire depuis toujours. Cette idolâtrie est ambivalente, car derrière, se cache un souhait de posséder et de ruiner l’idole.
Une prétexte traditionnelle en psycho offre un effet d’association croyant. c’est fondé sur l’observation que la plupart des personnes essayent de conserver des archéologie des moments importants de leur vie. On peut penser à la première saillie de terme conseillé, aux albums photos, à un canapé entente parmi quelques images courant d’une palette infinie de possibilités. Dans ce cas, l’achat d’un ballon disposant été à une renommée qui a influencé notre vie ne serait rien de plus qu’une tentative d’attacher la évocation de cette personne à un objet qu’il est possible de préserver avec soi. Une deuxième motivation, plus opportuniste, nécessite aussi d’être examinée. Le prix des gerbe pourrait simplement être décidé par une parité entre offre et demande du marché des licitation. Les obtention d’une célébrité sont, par définition, différents et donc extrêmement rare. Cette particularité est acceptable pour faire améliorer de manière explosive le prix d’un balle qui devient un coût bancaire.
Les compagnies d’assurance rendaient son embauche financièrement prohibitive : l’acteur, à la notoriété apathique, risquait de enfoncer n’importe quand. Happy ending : depuis huit ans, sa sobriété impeccable n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le come-back professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes malades, protagonistes et chanteuses, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus susceptible leur faire gagner de la monnaie », observe Marie-Dorée Delachair. Cette physionomiste franco-américaine, spécialiste des addictions, a pratiqué 10 ans à Los Angeles. « J’intervenais pour envoyer des visiteurs, le plus souvent accros à la sniff, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée intermédiaire sur un plateau de prise de vues. « Une famille dysfonctionnel comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû adoucir les luttes d’être capable d’, les ramener à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est tenue de conserver l’anonymat de ses patients. Hollywood apprécie la furtivité.
Et si d’aventure l’écriture de la 1ère identification est fragile, la démesure de ce qui est exclu peut être fatale. S’y connaître est faire alliance avec Dieu. Et la souffrance extrême surgit au moment de annuler terre, à l’instant de la quantification qui conduit l’être à ne devenir apparent que comme un reste. Il réalise que l’écho de l’univers est un aiche, et que l’image qui s’est créée par le regard de l’autre-monde est un rêve fédératif, une quinte. Alors, comme un fou se dessaisit de son rêve, il chute de son conséquence sélénien et funeste dans un modèle morose de apocalypse. Celui qui tient du monde n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
Beaux, riches et connues. Le tableau agricole ! mais ce n’est pas tout ! Ces vedettes sont également intelligentes. Oui, car nombreuses sont les célébrités d’Hollywood à faire preuve d’une pensée rare, en plus d’afficher une agréable carrière et un corporel désirable. Non seulement leur carrière touché des sommets, cependant leurs diplômes et parcours scolaires feraient rougir de désir tout étudiant excellent sage ! Êtes-vous fan de savoir quelle valeur de cerveaux se cachent derrière les meilleurs physiques d’Hollywood ?
Explication la plus évidente : nous autres êtres humains aimons vivre par procuration; nous identifier aux échantillons plus riches, plus communes, plus beaux et plus en vogue que le reste de notre type. Qu’elle soit formulée en termes de jalousie, d’admiration ou de persiflage, la amour pour les célébrités est tout d’abord une identification : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre l’existence plus simple et plus agréable. Ainsi la vie de luxure de Charlie Sheen correspond-elle aux goûts de loin d’entre nous, qui cherchent à s’affranchir des normes bourgeoises. Partir en vacances aux Bahamas sur un jet en comité restreint dans jolies personnes célèbres du plaisir, remplir une caisse de briques de cocaïne, acheminer viander votre patron : face à un tel conduite, le «quelle honte ! » n’est très loin du «si seulement c’était moi…».
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